Un jeune autiste qui décroche un CDI, un pas de plus vers l’autonomie.
Voilà un illustré très clair de l’objet de notre association Autisme Pyrénées : donner aux adultes autistes un lieu de vie et de travail protégé pour leur inclusion sociale et professionnelle.
Une structure d’accueil « Autisme Pyrénées » pour jeunes adultes autistes
Le foyer d’accueil dont parle la maman à la fin du reportage, c’est ce qu’Autisme Pyrénées propose de mettre à disposition des jeunes adultes autistes salariés, sous forme d’appartements indépendants dans une structure adaptée.
Autiste : un combat difficile, du dépistage à l’indépendance en passant par l’inclusion.
Aujourd’hui, nos regards, nos angoisses et l’actualité nous font pointer du doigt le dépistage, la scolarité et l’inclusion des autistes dans le milieu ordinaire.
Autisme Pyrénées veut préparer l’avenir, malgré les difficultés actuelles, et anticiper la création de structures d’accueil pour adultes autistes. Ces structures permettront de les accompagner dans leurs divers degrés d’autonomie, dans un environnement protégé tout en privilégiant l’inclusion en milieu ordinaire.
Aujourd’hui, pour l’Association Autisme Pyrénées, un premier contact a été initié avec la Mairie de Lannemezan…. envoi d’un courrier pour une demande de mise à disposition d’une salle pour les rencontres mensuelles « café-parents ».
Nous attendons notre rendez-vous avec Mr Le Maire, Bernard PLANO pour lui présenter notre projet dans sa globalité.
TSARA, le premier jeu pour sensibiliser à l’accompagnement des personnes avec autisme, est maintenant accessible sur ordinateur.Depuis le 7 avril 2016, TSARA est disponible gratuitement dans les stores Android et Apple, en anglais et en français.A partir d’aujourd’hui, le jeu TSARA est accessible sur le web à l’adresse : http://play.tsara-autisme.com
Au CHU de Limoges, une douzaine d’enfants ont participé à un essai clinique prometteur afin d’atténuer les troubles autistiques. C’est le résultat d’une étude publiée le 14 mars, et menée notamment par le docteur Eric Lemonnier, responsable du centre expert autisme du Limousin.
Un simple diurétique qui diminue les symptômes de l’autisme ? L’idée peut étonner. C’est pourtant le résultat porteur d’espoir d’un test clinique mené sur 88 enfants dans six centres français (*), dont celui de Limoges qui compte une douzaine de participants. Cette expérimentation au long cours a été rendue publique le 14 mars, avec une parution dans la revue Translational Psychiatry
– Josef Schovanec : Oui. Mais cela prend du temps. Apprendre à prononcer le mot est facile mais vous ne dites pas bonjour de la même façon à un chef ou à un vieil ami, en Suisse ou au Japon. Les non-autistes ne s’en rendent pas compte parce qu’ils intègrent ce genre de notions tout naturellement, mais il existe des millions de règles, qui vous imposent jusqu’à une certaine façon de marcher dans la rue. Et les règles ont des exceptions. Si vous enseignez à un jeune autiste à aller chercher du pain à la boulangerie, vous devez aussi lui apprendre comment il doit réagir s’il n’y a plus de pain. L’apprentissage n’est jamais total. Comme adulte, on continue à faire des gaffes. J’en fais moi-même des dizaines par jour. C’est la vie… Il y a par ailleurs un débat sur les limites d’une telle normalisation. Un autiste doit-il savoir faire tout ce qu’un non-autiste fait?